♦ Présentation Amazaki Hisaru ♦

Nom de Famille : Amazaki

Clan : Amazaki

Prénom : Hisaru

Âge : 19 ans

Classe Social : Guerrier, seigneur de la guerre de son clan

Fonction : Seigneur de la guerre (ou Shogun), fils aîné du chef du clan Amazaki

Don : Les dons héréditaires du clan Amazaki (précisés dans la fiche technique qui arrivera)

Arme : Un Wakizashi au fourreau vert émeraude et noir, et un katana vert émeraude appelé Shusui, au fourreau noir et gris qu’il porte au niveau de la taille.

Description physique :
Hisaru est un jeune homme d’une taille moyenne pour son age, bien battit, sa musculature révèle un exercice quotidien. Il est vêtus de noir, porte un haut court noir, une cotte de maille en filin. Il porte un kimono noir avec des motifs pourpre de papillon, qu’il laisse pendre sur ses jambes pour les cacher, dévoilant son haut simple. Une ceinture pourpre en soie est enroulé au niveau de la taille, ce qui retiens le kimono qui passe par dessus en pend. Il possède un Wakizashi fixé au niveau de la taille. Il porte des tabi traditionnelles, et un pantalon noir. Il se tient droit, et à fière allure. Il a des cheveux noirs, et des yeux rougeoyants, l’origine de cette couleur est inconnue, il doit les tenir de sa grand mère maternelle. Il arbore un air étrangement froid, mais ça ne l’empêche pas de sourire quelque fois. Il à une cicatrice sur son omoplate gauche, signe de son premier affrontement en tant qu’homme. Et sur son épaule droite est tatoué la fleur de cerisier, symbole du clan Amazaki, qu’il a reçu dès l’age de 6 ans. Il paraît calme et heureux de vivre, mais dans le fond de son regard on peut lire une certaine tristesse, combiné d’une certaine haine.

Description psychologique :
Hisaru est un homme assez posé et réfléchis pour son jeune age. Il à atteint un niveau de maturité précoce pour son age. Il est d’apparence froid et distant avec tous les gens qui l’entourent. Mais cette facette de lui même cache un être sournois et espiègle. Il à toujours été élevé à faire bonne figure pour faire honneur à son clan. Pour lui, le sens de l’honneur et ses engagements passent avant tout. Il est plutôt têtu, voir borné quand il s’agit d’honneur, mais n’hésite pas à enfreindre les règles qui réduiraient sa liberté. Il méprise les personnes disposant d’un statut supérieur qui n’accordent pas d’intérêt aux gens du peuple, et hais par dessus-tout les différences sociales, étant pour un principe que tout le monde née égaux, principe contesté par son père. Il n’aime pas plus que ça le temps passé en compagnie de dames, ni d’autres hommes d’ailleurs, c’est un homme qui aime parler et partager son point de vue sur toutes choses de la vie, et fréquente bien des maisons de thé dans ce but. Il aime surtout passer du temps à prendre du repos dans son pavillon de thé à regarder le calme plat du jardin de leur résidence. Cependant il peut se révéler être un combattant acharné si la cause défendue lui paraît suffisamment juste. Pour lui la loyauté n’a pas de prix. En définitive c’est un personnage de nature droite, mais paresseuse.

Histoire :
Hisaru est natif d’Izumo, capitale de l’Ouest. Son père est Seishi Amazaki, sa mère Naomi Hozetu. Il à passé les cinq premières années de sa vie dans la capitale, puis un temps de guerre éclata, et c’est à six ans qu’il fut envoyé à Shumo dans le but d’y recevoir un entraînement psychologique, pour faire de lui un guerrier au plus vite. A cette époque, Myoshi, grand père du jeune homme légua son titre de chef du clan au père d’Hisaru, ainsi Seishi devînt chef du clan Amazaki. Pendant ces batailles incessantes entre le clan Amazaki et le clan Ryusei, Hisaru fut entraîné dans un dojo de Shumo, avec un grand maître au sabre et à l’age de 11ans il devînt un guerrier aguerrit, manquant cependant de maturité pour pouvoir être envoyé au combat. Il vécu donc avec son vieux maître dans une demeure du clan. Il ne voyait presque personne, et sa vie était triste et pleine de solitude. Ayant apprit à maîtriser quelques uns de ses dons, il s’offrait régulièrement des petites virés de nuit dans la ville. Un jour, alors qu’il fêtait ses quinze ans, un gérante d’Okiyas lui fit cadeau de l’une de ses filles pour l’honorer. C’était une jeune femme du nom de Yuki, jeune Geisha elle entra au service d’Hisaru. Il vécu donc dans la demeure chaleureuse de Shumo une années supplémentaire, avec sa maisonnée, et la jeune Yuki qui était alors âgé de deux ans de plus seulement. Ils se lièrent d’amitié, et très vite ce lien se transforma. Quelques fois, pendant la nuit, il arrivait à Hisaru de se rendre auprès de Yuki en cachette dans le but de s’apporter un réconfort mutuel. C’est ainsi que quelques fois, il se rendait dans les quartiers de son amante afin d’y vivre un amour secret. Alors âgé de seize ans, Hisaru fut rappelé à Izumo par son père, il quitte Shumo avec Yuki et son vieux maître, apparemment, sa mère était malade et n’en avait plus pour très longtemps, elle ne passerait pas le printemps qui arrivait. Ils revinrent donc à Izumo, mais il était trop tard, sa mère était morte dans la nuit ayant suivit la demande de son père. S’ensuivit une période de deuil très longue, les guerres cessèrent au prix de nombreuses victimes. Il s’installa alors dans la demeure familiale avec sa maisonnée. Quelques temps après son installation, le clan Ryusei paya les services d’assassins dans le but d’éliminer toute descendance au clan Amazaki. Pendant une nuit, deux assassins pénétrèrent dans la demeure du clan au cœur même de la capitale. Ils tentèrent d’abord de tuer Hisaru dans son sommeil, mais Yuki intervint, elle le défendit, ayant suivit un entraînement à toute éventualité avant d’être offerte au seigneur, elle constitua une adversaire redoutable et tua l’un des deux assassins. Hisaru se réveilla rapidement, et sans attendre, pour voler au secours de la femme, il sortit son sabre et alla lui prêter main forte. Ils tuèrent le deuxième assassin sans peine, et sa tête roula sur le parquet de cerisier. Sonnant l’alerte, la maisonnée fut réveillé et envoyé à la recherche d’autres assassins. Un troisième assassin arriva alors pour tuer Hisaru en tentant de le poignarder. Il rata sa cible de justesse, et fit une profonde entaille dans l’omoplate gauche d’Hisaru. Il repartit à la charge pour porter un second coups, mais Yuki s’interposa et l’assassin lui planta sa petite lame dans le ventre, la jeune femme mourut alors presque instantanément. Fou de rage, Hisaru ramassa le Wakizashi de la belle et se rua sur son adversaire pour le tailler en pièce. Son seul amour étant mort, Hisaru pleura dame Yuki pendant plusieurs mois, le choc était terrible, et il entra dans une période de tristesse immense. A l’age de dix-huit ans, son père fut assassiné à son tour dans son sommeil, et nul ne sut jamais qui avait été l’assassin. Sans tarder, Hisaru fit un petit coups d’état dans le but d’assurer son héritage, et de ne pas voir les terres du clan Amazaki périr. Il devint donc le nouveau seigneur Amazaki, chef du clan tout entier. Cependant, il laissa ce titre à Myoshi qui avait bien plus d’expérience que lui, et se contenta de devenir son seigneur de la guerre.

Test Rp :
Il neigeait, un silence de mort régnait dans la vallée. La couleur vert émeraude dominait ces plaines d’un blanc maculé. Les étendards du clan Amazaki flottaient partout tout autour d’Hisaru, et il galopait de droite à gauche, d’un bout à l’autre de ses troupes sur son cheval noir nommé Karasu. Il se préparait à une bataille comme il n’avait jamais eu à livrer. Dans cette immense vallée, le seul et unique son qui se faisait entendre était celui des sabots du cheval noir qui bougeait dans la neige. De temps à autre, on pouvait entendre les voix graves des lieutenant de l’armé du jeune homme qui donnaient des ordres aux troupes, ou les motivaient. Hisaru se rendit en tête de troupe, aux côtés de ses lieutenants, il chevauchaient donc en tête de la troupe de cavaliers. Au loin, parmi les tourbillons de flocons, on pouvait voir le petit Bastion de Satenu, une ville fortifiée tombée aux mains des brigands du nord, on distinguait à peine les murailles, à cause de la brume causée par la neige qui tombait. Il dégaina soudain son sabre Shusui, un sabre qu’il avait hérité de son père, et le leva devant lui en direction de Satenu. Des brigands sortaient en masse par la porte d’entrée et s’attroupaient en fondant sur eux, ce n’étaient que des fantassins, rien d’impressionnant. Et sans crier garde, Hisaru baissa son sabre et galopa rapidement vers la citée renégate. Ses hommes le suivirent dans un brouhaha infernal, mélangeant le bruit des sabots de chevaux, aux armes et armures qui grinçaient. Ils arrivèrent rapidement sur les brigands, rompant leur formation, le choc fut violent et les ennemis tombaient par dizaines à chaque instants, Hisaru progressait rapidement, et désormais, il voyait distinctement les hautes murailles de la ville que l’empereur les avait envoyé libérer. Une vingtaine de brigands étaient embusqués en hauteur et lançaient des projectiles pour tenter d’empêcher les Amazaki d’entrer dans les fortifications.

Archers ! En avant !

Une dizaine de cavaliers se détachèrent des combats, et s’approchèrent du seigneur de la guerre, se mettant en formation autour de lui, ils sortirent des arcs soigneusement taillés, et se mirent à décocher des flèches sur le haut des murailles. Un fléau de flèches s’abattit sur les insurgés qui tombèrent un à un, morts. Hisaru entra alors dans la cité avec ses deux lieutenants chevauchants à côté, levant à nouveau son sabre, il fit signe aux troupes d’entrer dans la cité afin de lui prêter main forte. Il galopait en tête, et quelques mètres après les portes, il rencontra les premières résistances, des hommes à pieds armés de lances lui barraient la route. Sans bouger un cil, il abattit les forces de la nature sur eux, des ronces sortirent alors du sol pour les enlacer violemment, ses lieutenants furent très rapides et profitant de la confusion tranchèrent les nuques des brigands. Hisaru s’avança sabre en main et trancha la tête du fantassin qui se trouvait le plus près, une gerbe de sang gicla alors, et la tête tomba. Ils progressèrent rapidement, l’effet de surprise dut aux neiges était parfait, et ils avaient prit l’avantage très rapidement. Une fois arrivé sur la place principale, Hisaru mit pied à terre, et ses deux lieutenants l’imitèrent. L’un d’eux était indemne mais couvert de sang, l’autre avait une entaille sur la joue droite, et son armure étai légèrement démise. Ils s’inclinèrent légèrement, et Hisaru leur fit signe de se relever, il regarda autour de lui, ses hommes prenaient position ainsi que les archers, tous descendaient de leurs chevaux pour prendre position, sur la grande place. Cette place était une place de pierre en hauteur, au centre de grandes habitations qui avaient l’air vide. La ville était morte, aucun civil ne devait avoir survécu aux barbares, qui avaient dut les emmener avec eux en esclavage. On ne voyait qu’une grande tour qui surplombait le bastion, c’était l’endroit ou se trouvait, du moins normalement, le doyen de la ville. Hisaru commença à marcher vers cette tour, encadré par ses lieutenants, et une dizaine d’hommes. Ils arrivèrent rapidement aux pieds de la tour, mais furent interrompus par l’arrivée d’un homme d’une vingtaine d’année, en armure qui apportait des informations.

Sire Amazaki, les brigands sont en déroute, complètement désorientés, nos archers se sont basés sur les remparts, nos cavaliers parcourent les rues pour en éliminer les dernières poches de résistance, la victoire est proche.

A peine eut il finit de parler, qu’une flèche sortit de l’une des fenêtres de la tour, et siffla avant d’aller se loger dans sa gorge, le jeune homme mourut et s’écroula net avec une expression de douleur impossible. Hisaru se retourna vers la tour, et d’autres flèches furent décochées, l’une d’elles se logea dans la cuisse droite du jeune Shogun, qui dut mettre genoux à terre. Avec une expression de haine, il dégaina son sabre et le mit devant lui comme pour se protéger. L’un de ses lieutenants se précipita entre la tour et lui afin de le protéger, sabre en main, certains hommes moururent percés par des flèches. Hisaru se releva tant bien que mal et se précipita vers la tour, il perdait pas mal de sang, et la neige devenait rougeâtre de sang autour de lui. Il arriva contre la porte qui semblait bloquée, il se tourna alors vers son plus jeune lieutenant et lui fit signe d’approcher, ce dernier s’exécuta, et Hisaru prit un grappin de ses effets personnels, il le lança avec force pour monter par une fenêtre dans le bâtiment. L’un de ses hommes passa le premier pour sécuriser la prise. Hisaru grimpa en deuxième, suivit par un de ses lieutenants et deux hommes, une fois dans la tour, ils progressèrent rapidement, mettant à sac toutes les pièces pour trouver les tireurs embusqués. Ils trouvèrent alors la pièce ou se trouvaient les archers, puis sans une once d’hésitations, ils furent tous éliminés. Un homme armée d’un katana se déroba au combat, et emprunta les escaliers, Hisaru le suivit en courant, ils montèrent sur le toit. Le toit était grand en enneigé, ils étaient à plusieurs dizaine de mètres du sol, l’homme sortit son sabre, il portait une armure en cuir semblable à celle d’Hisaru, mais grossière dans les motifs, il s’avança lentement, sabre en main prêt à bondir. Hisaru se mit en position de garde et se prépara au combat, sa cuisse lui faisait terriblement mal, mais il décida de passer outre la douleur. Derrière lui son lieutenant arriva ainsi que certains de ses hommes, ils tirèrent leurs lames en même temps, mais le seigneur de la guerre fit signe de ne pas intervenir.

Je suis Hisaru Amazaki, seigneur de la guerre du clan Amazaki, je te somme de déposer les armes et de te rendre sur le champs.

Ta bonté te perdra misérable, ici tu n’es rien du tout !

L’homme se jeta sur Hisaru pour lui assener un coups de sabre rapide, mais le jeune Amazaki fut plus vif et esquiva, pour trancher la moelle épinière du brigand, le tuant net. L’un des lieutenants d’Hisaru s’avança, étendard en main et le mit au sommet du toit, c’était une victoire totale, les barbares étaient en déroute, et le clan venait de reprendre la ville.