Suzuki Ryô ( Parias).

Nom de Famille :
Suzuki.

Clan :
Aucun pour le moment.

Prénom :
Ryô.

Âge :
Une vingtaine d'année, plus précisément 22 ans.

Classe Social :
Parias en herbe.

Fonction :
Aucune en particulier.

Don :
Ryô n'en a acquis aucune. Mais une légende sur la famille des Suzuki raconte qu'un Don très particulier hante l'âme de touts les Suzuki... Pourtant, aucune personne de cette famille n'a usez de ses pouvoirs.

Arme :
Ses dents pointues lui permettent d'arracher la peau de ses victimes. Mais ceci est beaucoup trop lent. Notre jeune homme se sert donc de trois armes pour chaque spécificité de combat : le Wakizashi, une arme courte d'une trentaine de centimètre, avec la quelle il se sert pour les coups en traitre. Le Tachi, une arme semi-longue d'une soixantaine de centimètre avec un Tsuka d'un noir uni et un signe de serpent, transpercé par deux sabres, en Or. Ainsi qu'une lame semi-courbé comme sa dernière arme blanche... Il s'en sert pour les combats simples, voir les combats rudes et durs. Comme tout homme cruel qui se respecte, Ryô a fait l'acquisition d'un Kusari Gama ! Un manche d'une grandeur d'à peine 35 cm environ, et une lame d'une vingtaine de centimètre arqué. Une chaine relie le manche à une boule en fer idéal pour assommer. Comme pour le Tachi, il s'en sert soit pour les petits combats, soit pour les combats qui en valent la peine ; pour lui, le Tachi et le Kusari Gama est d'une force égale.

Description physique :
Ryô est habillé avec une très grande classe ! Quelques petits détailles lui font avoir son propre style vestimentaire. Ses deux bottes en cuir noir d’une petite grandeur lui font un charisme de rockeur. Son long pantalon du type costume sans n’ont plus l’être lui fait un style sérieux, voir calme et froid. Notre jeune homme ne porte pas de ceinture, son pantalon lui colle tellement à la peau qu’il ne s’abaisse pas. Pour son Pull, il s’agit d’un pull noir profond avec différent signe pour le fun. Sur sa manche de Pull droite se trouve deux serpents signifiant pour lui le Mal en personne. Ses serpents sont transpercés, comme pour son Tachi, par deux sabres. Pour cacher son bas du visage, il utilise une sorte de foulard noir avec des étoiles d’une blancheur éclatante. Tout en bas de ce foulard se trouve aussi un Pique Blanc (

) très grand. Lorsqu’il enlève se foulard, ce qui prouve que la puissance de l’adversaire en vaux la peine, un bandeau blanc cache son nez. Tout aussi étrange que magnifique ! Aux doigts, Ryô porte des bagues d’un style semi-gothique ainsi que des bracelets au style aussi gothique aux bras. Ses cheveux blonds, voir même dorés, caractérise sa beauté et des mèches blondes aussi cachent quelques parties de son visage. Il s’est fait plus tard une teinture brun sur les mèches qui se trouve devant ses oreilles.

Description psychologique :
Ryô n’est pas quelqu’un de très gentil, ni très méchant non plus d’ailleurs. Il aime tuer, c’est simple pour lui. Dès qu’un combat peut s’offrir à lui, il se jette dessus. Mais des assaillants peuvent être plus forts que lui, me direz-vous ? Et bien, Ryô réfléchit tout de même avant d’enclencher le moindre combat. Ce n’est pas l’homme cruel qui se croit le plus fort, non, loin de là. Notre jeune homme sait pertinemment que des hommes, bien plus barbare que lui, sont ici, près de lui, chaque jour. Il ne cherche pas tout le temps à mettre du raffut dans les villes, même jamais contrairement aux autres Parias. La seule chose qu’il ait en commun avec les autres hommes cruels, c’est l’envie de tuer. Tuer, pour lui, est un plaisir. Il ère les rues en quête d’homme sans richesse, sans force. Ces gens-là sont indignes de vivre. La richesse et la force est primordiale maintenant dans ce monde où chacun fait ce qu’il veut, quand il veut et sur n’importe qui. Lorsqu’il se bat contre ces vermines, il adore prendre un malin plaisir de prendre une de ces armes les plus médiocre pour tout de même montrer que eux, les pauvres, ne sont rien face aux autres Parias. A vrai dire, Ryô n’ait pas plus riche qu’eux… Il ne gagne ni argent pour se payer… Une maison ? Ou un abri… C’est pourquoi il marche sans but et sans cesse. Ce qu’il le caractérise par rapport aux miséreux alors ? Rien… Oh si, peut-être la force. Oui c’est ça, la force qui s’accroit de jour en jour.

Histoire :
" Le bonheur humain est composé de tant de pièces qu'il en manque toujours.
Chaque être humain, quel qu’il soit, court après le bonheur.
Impossible de définir le bonheur, chaque seconde est un bonheur.
Il faut pouvoir le voir et le garder...
Qu'est ce que le manque ? Un besoin ou une envie? "
Bossuet

Cette phrase reflète assez bien l’étendu du bonheur. Un bonheur n’est pas composé d’un simple sourire, mais tant d’autre chose. Ryô aussi croit à cette citation. Même s’il a touché de nombreuse fois le mot bonheur de près, jamais il n’aura assez de satisfaction. Il faut poursuivre pour en avoir toujours un peu plus. C’est pour cela aussi qu’il ne faut pas cesser de s’amuser et surtout de vivre. Malheureusement, les parents de notre jeune homme n’ont pas su entretenir leurs joies. La lassitude de leurs vies les a gagné lorsque Ryô a eut 13 ans… Mais revenons un peu plus loin dans le passé avec sa naissance. Le petit aux yeux de Perçant est née dans une grande ville japonaise du Kinki, Kyoto. Il y vit sagement jusqu’à ses quatre ans, où sa famille fut expulsé par manque d’argent. Après trois bonnes journées où le soleil tapait fort, ils arrivèrent aux alentours d’Osaka. Peu de temps après leur arrivé, le même coup leur retombe dessus. Obligé de vivre dans la rue, seuls à vaincre contre le froid la nuit et le chaud la journée. De nombreuse fois la petite famille s’est fait piétiner par les passants nombreux. Ryô, avait alors 5 ans voir bientôt la sixième année. Il avait déjà comprit comment marchait se monde : pas de place pour les miséreux, mais encore plus de place pour les riches. Survient à prêt le bonheur, enfin… La mère du petit trouve de quoi assurer un repas cache jour. Pour eux, ils pouvaient enfin toucher le bonheur de près. Pardon ? Je parle beaucoup trop de bonheur ? Et bien, sa vie est reposée sur ce mot. Bref, le jeune fête ses 12 ans. Nous avons déjà parcouru un bon chemin… Ses parents très protecteur lui donne le droit d’errer dans les rues et de joué avec les autres. Il avait pensé que ces enfants qui jouaient dans le parc d’à côté l’accueilleraient comme quelqu’un de bien, de normal. Et bien non, tous se moquèrent de lui. Pauvre mec des rues, voilà son nouveau surnom. Mais cela ne lui empêcha pas de monter à un des jeux dans le parc. Tous le monde le suivaient, reniflent son odeur. Cependant, les jeunes devaient bien admettre qu’il était imperturbable. Et pour cause, il adoptait un large sourire. Un peu plus tard, lorsqu’il revenu d’une de ces escapades dans les rues nombreuse, ses parents n’étaient plus là. Ce jour-là il pleuvait à grosse goute. Sans plus attendre, il se précipita vers les rues voisines en quête de ses parents si protecteurs. Quelques pas plus tard, ils les retrouvèrent, tous les deux égorgé par des meurtriers. Mais… Est-ce au moins des meurtriers qui ont fait ça ? … Il ne l’a jamais su, et cela ne le dérange pas. Il revenu au campement, le poing serré et les larmes qui tombaient. Et si seulement il était avec eux à ce moment là, il aurait pu faire quelque chose ! C’est ce qu’il pensa… Depuis ce jour, il garda pour lui, le seul bonheur qu’il puisse toucher : le plaisir de tuer.

Test Rp :
Voir prochain post.

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" Le bonheur n'existe pas.
Seul existe le désir d'y parvenir.
Mais au bout du compte, désire-t-on vraiment y parvenir?
Il est inaccessible, alors pourquoi cherchons-nous à l'atteindre? "
Anton Tchekhov

Le bonheur… Un sacré mot, n’est-ce pas ? Pensez-vous seulement, question que je me pose, que le bonheur est lié au soleil ? Car, ce jour-là, un soleil de plomb régnait dans le ciel ainsi qu’une douce odeur de parfum de cerisier. Les cheveux blonds d’un jeune homme en virevoltaient d’ailleurs ! Mais, pour une fois que toutes ces belles choses pouvaient s’offrir au même moment, pourquoi ne pas profiter de cet instant présent ? A prêt tout, il ne fallait pas se priver ! Le jeune blondinet se mit à marcher en direction de la petite rivière du coin après avoir longtemps contemplé les beaux pétales roses de ce cerisier japonais. Les marchands qui attendaient avec impatience des clients, nombreux serait-il, pouvaient déjà entendre les pas du jeune homme. Et pour faire encore plus de bruit, Ryô portait deux grosses bottes en cuir noir. Quoi de plus pour les énerver ? Et puis, ils avaient de la chance : le blondinet était de bonne humeur aujourd’hui ; mais il ne fallait pas l’énerver pour autant ! Il n’y avait que lui qui marchait, et pour bien clore le tout, avec une démarche très lente. Une fois cette rue commerçante fini, il passa à la ruelle étroite où, déjà, un homme à la large figure s’interposa, yeux fatigués et Kunai à la main. Qu’est-ce qu’il voulait ? Se battre alors qu’il doit être ivre ? Ryô n’a pas vraiment de cœur, et commença le combat ; à prêt tout, il l’avait cherché. Sans chercher plus loin, l’ivre se jeta tête baissé, et c’était le cas de le dire, sur le blondinet. Bien sûr, ne sachant pas où il allait, Ryô n’eut pas de mal à rester simplement sur place pour l’esquiver. N’importe quoi, pensait-il… Pour « contrattaquer », Ryô s’empressa de poser sa main droite sur le front de l’homme pour qu’ensuite il le jette au sol. Une fois à terre, l’homme ne bougeait plus le suppliant d’arrêter. Il se mit même à s’accroupir devant lui en lui tenant voir littéralement arracher le bas de son pantalon noir. Le jeune blond regard partout, et bien il avait honte ! Honte qu’un homme ivre lui touche le pantalon, le supplie : quel homme ingrat ce type ! Le trompeur bougea son pied puis finit par sortir le Wakizashi. La lame lisse et brillante brillait face au soleil. Alors que l’homme ne le voyait pas, tellement préoccuper à le vénérer, il prit son arme comme un assassin puis le planta dans le dos de l’ivre. L’homme replongea sur le sol, essayant de se débattre à l’intérieur de lui-même. L’homme avait un mal de chien à respirer car Reita avait visé spécifiquement les poumons. Il voulait que cet homme souffre ! Il retira sa lame ensanglanté d’un sang rouge foncée, pour la montré haut dans le ciel. Le sang brillait… Le sang de l’ivre était donc si pur que ça ? Et bien oui, surement. Mais il ne fallait pas se poser des questions sur sa santé, au contraire, l’homme allait mourir, mais plutôt sur ce qu’il allait faire plus tard. Il essuya son Wakizashi sur le manteau vieux de l’homme puis partit, avec une démarche un peu plus rapide que précédemment. Pourquoi ? Et bien vous n’avez qu’à lui demandez !

[Hors rp : Désolé de casser ton truc, mais dans ton test rp il y a pas mal de points à reprendre, en particulier les mentions du "rinegan" voila =D]

| Je ne comprends pas trop ce que je dois changer par rapport à ce que tu m'as dis... |

Bien la présentation et très bon choix de personnage ( Reita ) L'histoire est triste , pauvre Ryo, il a perdu ses parents.

Ama : On sait très bien que c'est Pein ce joueur donc bon.

Ouais, mais bon prendre un test rp d'un autre fofo c'est bien joli, mais change au moins les trucs style "le possesseur du Rinnegan" Le test rp est censé être un rp mettant en scène TOn personnage.

c'est mieux faire un rp mettant en scène son perso on en apprend plus sur lui

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| Voilà, j'ai posté mon Test-Rp. Ne faites pas attention à la taille, car je fais des posts plus grands d'habitude ^^ ... |

Ok ok.

Tu veux quoi comme rang sous ton pseudo ?

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| Hmm... Le trompeur charismatique ? |

Voilou. ^^

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| Merci =D ! |